Fatalement, sur piste, la route ne s'avale pas à du 100 à l'heure. Mais c'est aussi l'occasion de profiter de ce que le paysage nous offre :
- un point d'eau abreuve un troupeau de zébus, avec seulement un baobab pour trancher la ligne d'horizon
- des diguettes retiennent l'eau et délimitent chaque parcelle de la rizière
- dans une cour, quelques sékos (tiges de mil tressées qui servent en général de paravent ou de toit) en forme de cône révèlent une activité de teinture traditionnelle
- de gros cailloux bordent la route. Aussi solide soit le pare-buffle, mieux vaut donc éviter la sortie de route
- en fin de journée, quelques pêcheurs s'activent encore sur un plan d'eau formé par un barrage